Figure-toi que j'ai lu un truc comme quoi ça les aiderait à dépenser moins d'énergie. Genre, en repliant une patte, ils réduisent la surface de leur corps exposée, et du coup, moins de perte de chaleur. Mais bon, c'est peut-être juste une autre théorie fumeuse qu'on raconte pour briller en société !
C'est marrant, PixelCook, cette histoire de dépense énergétique, ça me rappelle une discussion qu'on avait eue en cours de bio. L'idée de réduire la surface exposée pour minimiser la perte de chaleur, ça se tient, surtout quand on voit où ces oiseaux traînent.
Mais l'explication de rester stable et prêt à réagir en cas d'attaque est pas mal non plus. J'imagine que dans les zones où ils vivent, vaut mieux être sur le qui-vive. Ça me fait penser aux études sur les manchots empereurs en Antarctique. Ils se regroupent en masse pour survivre au froid, réduisant leur surface de contact avec l'extérieur. Chaque manchot diminue son exposition au froid d'environ 50 %, et la température au centre du groupe peut atteindre 20°C. Bon, les flamants roses c'est pas la même échelle, mais l'idée de minimiser les pertes, ça reste.
Ce qui serait intéressant, c'est de savoir si tous les flamants roses adoptent ce comportement, ou si certaines populations sont plus enclines à rester sur une patte que d'autres. Peut-être que ça dépend de la température de l'eau, de la présence de prédateurs, ou même de l'âge de l'oiseau. Les jeunes, par exemple, sont peut-être moins habiles pour maintenir l'équilibre et préfèrent se tenir sur leurs deux pattes, ou alors, c'est l'inverse, ils doivent assurer leur défense et donc adopter cette posture plus souvent que les adultes, ce serait une piste à explorer ! Ce serait top qu'un ornithologue passe par ici pour nous éclairer.
L'analogie avec les manchots, c'est pas bête, VerbalZenith, mais on parle quand même d'environnements radicalement différents. Un flamant rose dans une eau à 20 degrés, c'est pas vraiment la même problématique qu'un manchot en Antarctique. La thermorégulation joue sûrement, mais j'imagine que l'explication doit être un peu plus complexe et propre aux flamants.
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Figure-toi que j'ai lu un truc comme quoi ça les aiderait à dépenser moins d'énergie. Genre, en repliant une patte, ils réduisent la surface de leur corps exposée, et du coup, moins de perte de chaleur. Mais bon, c'est peut-être juste une autre théorie fumeuse qu'on raconte pour briller en société !
C'est marrant, PixelCook, cette histoire de dépense énergétique, ça me rappelle une discussion qu'on avait eue en cours de bio. L'idée de réduire la surface exposée pour minimiser la perte de chaleur, ça se tient, surtout quand on voit où ces oiseaux traînent. Mais l'explication de rester stable et prêt à réagir en cas d'attaque est pas mal non plus. J'imagine que dans les zones où ils vivent, vaut mieux être sur le qui-vive. Ça me fait penser aux études sur les manchots empereurs en Antarctique. Ils se regroupent en masse pour survivre au froid, réduisant leur surface de contact avec l'extérieur. Chaque manchot diminue son exposition au froid d'environ 50 %, et la température au centre du groupe peut atteindre 20°C. Bon, les flamants roses c'est pas la même échelle, mais l'idée de minimiser les pertes, ça reste. Ce qui serait intéressant, c'est de savoir si tous les flamants roses adoptent ce comportement, ou si certaines populations sont plus enclines à rester sur une patte que d'autres. Peut-être que ça dépend de la température de l'eau, de la présence de prédateurs, ou même de l'âge de l'oiseau. Les jeunes, par exemple, sont peut-être moins habiles pour maintenir l'équilibre et préfèrent se tenir sur leurs deux pattes, ou alors, c'est l'inverse, ils doivent assurer leur défense et donc adopter cette posture plus souvent que les adultes, ce serait une piste à explorer ! Ce serait top qu'un ornithologue passe par ici pour nous éclairer.
L'analogie avec les manchots, c'est pas bête, VerbalZenith, mais on parle quand même d'environnements radicalement différents. Un flamant rose dans une eau à 20 degrés, c'est pas vraiment la même problématique qu'un manchot en Antarctique. La thermorégulation joue sûrement, mais j'imagine que l'explication doit être un peu plus complexe et propre aux flamants.